
Le 31 juillet dernier vers 22 heures, une ONG basée dans la banlieue de Los Angeles est cambriolée. Les auteurs ont emporté avec eux tout le matériel informatique. Une véritable catastrophe pour cette association qui défend les victimes de violences sexuelles.
Quelques heures plus tard, à peine remise de ce cambriolage, Candy Stallings, la directrice de l'ONG, apprend alors par la police que des agissements suspects sont à nouveau constatés autour du bâtiment.
Au petit matin, elle file paniquée jusqu'au local et découvre avec stupeur que tous les objets dérobés la veille sont déposés devant la porte. "Tout était là", précise-t-elle.
Mais alors qu'un officier de police commence à relever les empruntes sur un lap top, il tombe sur une petite note bourrée de fautes d'orthographe, glissée dans l'appareil. "Nous n'avions aucune idée de ce que nous faisions. Voici vos affaires. Nous espérons que vous continuerez à faire du bien à ceux que vous aidez. Dieu vous bénisse", dit-il, stupéfait.
Très émue par ce geste, la directrice envisage d'encadrer le mot laissé par les voleurs. Ou du moins une photocopie de celui-ci: la police, zélée, a en effet saisi le document pour l'analyser afin de retrouver les malfaiteurs.
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